Premier jour et première provocation pour Amélie Oudéa-Castera qui jette le discrédit sur l’Ecole publique et ses personnels.
Premier jour d’exercice pour la ministre de l’Education (à mi-temps), de la jeunesse, des sports et des jeux Olympiques et Paralympiques et première provocation. A l’occasion de sa première sortie sur le terrain, en retrait derrière le premier ministre Gabriel Attal, Amélie Oudéa-Castera a du s’expliquer après les révélations de Mediapart pointant la scolarisation de ses enfants au collège et au lycée Stanislas. Cet établissement privé catholique est sous le coup d’une enquête administrative suite aux révélations du journal en ligne : Mediapart a ainsi révélé la vision sexiste, homophobe et autoritaire de l’enseignement donné entre les quatre murs de cet établissement (l’IVG y est par exemple assimilé à un « meurtre », des membres de l’Église y vantent les thérapies de conversion, pourtant interdites par la loi). Ce rapport demandé par Pap Ndiaye a atterri sur le bureau de Gabriel Attal sans qu’il n’y donne suite.