Les collègues non-titulaires subissent la même dégradation de leurs conditions de travail et de rémunérations que les titulaires auxquelles s’ajoutent toutes les incertitudes liées à la précarité de leur situation.Depuis 2016, les grilles académiques ne sont ni revalorisées,ni harmonisées. Il en résulte une stagnation générale des salaires et de nombreuses inégalités de traitement selon le lieu de travail. Le service public d’éducation ne peut se satisfaire de ce mépris des personnels précaires.
7 mars 2024