A l’appel de RESF :
Signez la pétition en ligne et faites circuler :
Salma et Salima Boulazhar ont eu 18 ans au mois d’Avril. Comme des milliers de jeunes majeurs qui ont dû quitter leur pays étant enfants Salima et Salma vivent sous la menace d’une expulsion depuis leur majorité. Elles sont jumelles, accueillies en France à l’âge de 13 ans chez leur tante. Leur grand-mère qui les élevait venait de décéder et elles ne pouvaient rien attendre de leurs propres parents.
Depuis leur arrivée, elles se sont battues pour reconstruire leur vie en France. Elles ont été scolarisées au collège puis au lycée et ont ensuite signé toutes deux un contrat d’apprentissage qui se déroulait à la satisfaction de tous. Tous ceux qui les connaissent témoignent de leur courage et de leur volonté.
Une demande de titre déposée avant leur majorité a été refusée par courrier du 27 Juillet. Après 7 mois de silence de la préfecture, le 19 Janvier, les policiers sont venus chez leur tante, ont emmené Salima et l’ont conduite au centre de rétention de Lyon. .
Salma a échappé à l’arrestation. Elle était alors hospitalisée angoissée et dépressive depuis l’annonce du refus de séjour.
Le juge des libertés a décidé de prolonger la détention de 15 jours. Nous savons que cela accorde 15 jours aux autorités pour obtenir « l’accord de réadmission » de Salima de la part des autorités marocaines.
Salima est en grand danger d’expulsion. Salma est condamnée à se cacher.
Nous demandons la libération immédiate de Salima.
Nous demandons au préfet qui a cette possibilité là, de revenir sur sa décision d’expulsion et de régulariser la situation de Salma et Salima BOULAZHAR.
Depuis leur arrivée, elles se sont battues pour reconstruire leur vie en France. Elles ont été scolarisées au collège puis au lycée et ont ensuite signé toutes deux un contrat d’apprentissage qui se déroulait à la satisfaction de tous. Tous ceux qui les connaissent témoignent de leur courage et de leur volonté.
Une demande de titre déposée avant leur majorité a été refusée par courrier du 27 Juillet. Après 7 mois de silence de la préfecture, le 19 Janvier, les policiers sont venus chez leur tante, ont emmené Salima et l’ont conduite au centre de rétention de Lyon. .
Salma a échappé à l’arrestation. Elle était alors hospitalisée angoissée et dépressive depuis l’annonce du refus de séjour.
Le juge des libertés a décidé de prolonger la détention de 15 jours. Nous savons que cela accorde 15 jours aux autorités pour obtenir « l’accord de réadmission » de Salima de la part des autorités marocaines.
Salima est en grand danger d’expulsion. Salma est condamnée à se cacher.
Nous demandons la libération immédiate de Salima.
Nous demandons au préfet qui a cette possibilité là, de revenir sur sa décision d’expulsion et de régulariser la situation de Salma et Salima BOULAZHAR.